(gauche) Présentation à la friche de la Belle de Mai à Marseille en mai 2012, au Festival Les Musiques (GMEM)


(droite) Présentation à l’Université de Clermont 1 (site universitaire du Puy-en-Velay) en décembre 2012 (durant le cycle des conférences sur le patrimoine technologique).

©Immémorial, PascaleWeber/GMEM/Euphonia/MIM/SCAM/LEEE

Immémorial #6 : Rew’ (2011-2012)


Environnements immersifs, spatialisation visuelle et sonore :

Le spectateur peut physiquement traverser l’espace du dispositif autant qu’il peut se sentir traversé, transpercé par le dispositif. Dans l’espace de l’installation les repères de verticalité et d’horizontalité s’effacent, sans mur et sans structure formelle spécifique à Marseille, avec une structure et une projection dédoublées au Puy, troublant l’évaluation des distances spectateur/écran par le regard.


Les sons parviennent de multiples points devant, sur les côtés et de derrière, les images sont projetées au ciel et sur des plans inclinés (Marseille) ou sur des draps souples verticaux (au Puy). Même dans la version du cube les arêtes du volume sont gommés pour reconstruire un volume fermé à l’enveloppe irrégulière, aux bords un peu flous, imperceptibles, pour un spectateur décentré, qui se rappelle que dans la « vraie » vie, les limites de son champ de vision ne sont pas celles d’un écran de téléviseur.


Le spectateur enfin peut surtout s’allonger et «séjourner» dans le lieu, s’immerger et voyager dans sa mémoire.

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